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Chapitre 13.

Voluptés (encore)...et voluptés (touours!)

 

 

 

 

Il n'y avait pas à dire, André était tout de même remarquablement habile de ses mains...

A peine sa demande murmurée de lui retirer cette maudite robe, qu’Oscar sentait leur chaude étreinte remonter sans hâte le long de ses reins, de son dos, semblant sur leur passage rendre incandescente la fine mousseline toute mouillée.

Tout juste si la jeune femme n’aurait pas trouvé normal de voir le tissu s’embraser soudain et se réduire en poussière, pour laisser enfin ces paumes larges et douces caresser sa peau nue. Plus qu’un gémissement, léger, elle exhala une plainte délicieuse.

Elle en avait tellement envie…


Mais à défaut de déclancher l’incendie improbable ou même de la débarrasser du moindre gramme de tissu, elle sentit les mains du jeune homme remonter encore et s’insinuer voluptueusement dans sa chevelure, reprendre son visage pour guider sa bouche vers la sienne.

Sa bouche qu’il effleura de son sourire mais l’éloigna à chaque fois qu’elle voulut le capter, jouant avec son désir, l’attisa d’une tendre et si savante manière que la dérobade devint plus troublante que le baiser lui-même, où la récompense n’était plus charnelle mais sensuelle par une haleine devinée et bue, un frôlement, un souffle tiède aussitôt évanoui pour mieux ressurgir, éphémère, encore et encore.

Les yeux mi-clos, Oscar se laissait griser par cette partie de cache-cache lorsqu’André y mit fin sans crier gare, capturant ses lèvres pour réclamer son gage, d’amour comme il se doit.

Etait-il humainement possible d’embrasser de la sorte…Le corps de la jeune femme s’alanguit un peu plus.


- Ah, mon amour…soupira André un moment plus tard, contre sa joue. Sais-tu que j’ai rêvé de ce moment depuis le tout premier regard que j’ai posé sur toi ?

- Ah oui… tu ne crois pas que tu exagères quand même un peu ?

- Mmm…non, pourquoi…

- Quand tu m’as vu pour la toute première fois tu avais quatre ans !

- Et oui mais…j’étais précoce…

Elle se dégagea un peu pour découvrir le sourire espiègle.

- Tu n’es qu’un fou…rit-elle doucement en hochant la tête, séduite par cette fantaisie de ton qu’elle découvrait chez lui. Il la considéra à son tour, mais d’un air beaucoup plus sérieux soudain.

- Dis-moi Oscar, à propos de précocité…c’est au sein des troupes de Sa Majesté qu’on vous apprend à faire ça ?

Elle le regarda sans comprendre

- Mais de quoi parles-tu !

- De ce mouvement, là. Celui avec lequel tu es en train de mettre le feu à mon pantalon.


Un sourire languide se dessina sur les lèvres de la jeune femme : son bassin n’avait cessé de bouger, d’un rythme lent, ses cuisses prodiguant à présent au sexe du jeune homme un véritable massage dans les règles de l’art.

- Ça te plait ? Cela m’est venu naturellement…

- Ah je vois. L’habitude des manœuvres militaires sans doute. Pas mal en effet.

- Pas mal ? C’est tout ? s’étonna Oscar, piquée au vif. Attends…

Elle s’allongea un peu plus pour imbriquer sa cuisse entre les siennes et continua ainsi plus intensément son mouvement intime.

- Et comme ça, c’est mieux ? murmura t-elle en fermant les yeux quelques secondes, le temps de recueillir et d’apprécier le fruit de ses efforts.

- Mmoui…c’est…intéressant, approuva André la voix nettement assourdie. Il faut bien reconnaître que vous les hauts officiers, avez le goût du travail bien fait, c’est indéniable. A mon tour maintenant. Je vais te montrer de quoi est capable le génie civil…


Le corps de la jeune femme tressaillit de joie : il allait enfin la libérer de cette foutue mousseline ! Et puis…pas du tout. Les mains si habiles d’André se dirigèrent vers ses hanches pour doucement l’inciter à se retourner, entreprise rendue extraordinairement inconfortable à cause de l’exiguïté…et redoutablement excitante malgré tout.

Mais se retrouver bientôt à plat dos tout contre lui fit tout de même réfléchir Oscar, davantage lorsqu’elle sentit sa chaude et dure virilité s’insinuer délicatement vers l’échancrure de ses fesses et de ses cuisses, carrefour troublant et mystérieux empli de sensations inédites. L’esprit militaire montrait ses limites… et le génie civil triomphait, pas de doute.

- Alors ? chuchota André dans un sourire.

- Oui c…c’est…in…téressant...également, balbutia Oscar, quittant peu à peu les mondes terrestres.

- Intéressant ? C’est tout ? dit-il amusé, la paraphrasant. Attends…


Alors, insidieusement, ce fut lui qui commença une lente rotation de ses reins dans les profondeurs de cette eau attiédie par la chaleur de leur deux corps, son sexe partant doucement à la rencontre des zones intimes de la jeune femme, sans hâte, presque avec paresse.

- Et comme ça, c’est mieux… exhala t-il dans un souffle chargé de désir.

- Oui c’est…c…mmmhh…c’est divinement bon… gémit-elle en laissant aller sa tête contre l’épaule puissante et son regard se perdre vers les hauteurs. Oh bon sang… où as-tu appris ça ?

- Là, tu ne vas jamais me croire : chez celui qui m’a vendu les chemises immondes et toutes roses que tu aimes tant.

- HEIN ??! sursauta t-elle, tu…tu veux dire qu…

- Non, Oscar, rit-il brièvement ( ouch ! intéressante sensation que ce rire sur ce qui se passait sous l’eau !) Je n’ai eu aucune relation biblique avec ce type, si c’est à cela que tu penses. Mais il a essayé figures-toi.

Elle se laissa aller de nouveau et s’alanguit.

- C’est vrai ?

- Comme je te le dis. Dès qu’il m’a vu quitter ma chemise et porter cette horreur, il n’a eu de cesse de me montrer disons…toute l’étendue de sa ferveur admirative !

- Ça, je peux le comprendre…murmura Oscar pour elle-même, souriant béatement à l’évocation du torse hâlé. Et alors, que s’est-il passé ?

- Et bien, n’ayant pas pour habitude de me laisser me faire mettre la main au cul pendant qu’on prend mes mesures, j’ai préféré le tuer.

- ANDRE !!!


Comprenant qu’il plaisantait depuis le début, elle tenta de jouer les révoltées.

- Mais tu es vraiment impossible !! protesta t-elle en se tournant à demi, avec toi, je ne sais jamais si tu es un voyou ou l’homme le plus merveilleux que je connaisse !

Il lui dédia ce sourire splendide qu’elle adorait.

- Je suis les trois, ma douce : un voyou, un homme merveilleux…et un amant torride, qui depuis quelques minutes a une envie folle de goûter enfin à ton corps ! acheva t-il en emprisonnant ses lèvres pour faire taire toute tentative de mutinerie face à sa dernière exigence.

Comme si elle songeait à se rebeller alors qu’elle aussi se consumait d’impatiences !


Avec un gémissement de contentement Oscar s’offrit au baiser, se retourna tant bien que mal pour s’accrocher à lui, souder ses mains contre la peau brûlante de ce torse qui la rendait délirante de sensations, grise de sentir les bras du jeune homme s’enrouler pareillement autour d’elle.

Ivre, chancelante lorsqu’il reprit possession des chaleurs troublantes de son cou, lorsqu’il fit couler le souffre de ses lèvres le long de sa peau humide en descendant toujours plus à chaque contact, jusqu’à son épaule qu’il dénuda brutalement pour y laisser le tribu de sa passion dévorante.

-  Je…oh j’ai cru que ce moment n’arriverait jamais !  gémit-elle sous l’intensité des caresses audacieuses dévalant ses épaules pour atteindre sa poitrine.

Oscar se redressa alors, fière, superbe dans l’abandon de ses dernières pudeurs pour exposer à l’ardente admiration du jeune homme ces deux trésors qu’elle avait jalousement préservé de toutes indiscrétions durant tant d’années, les abandonna sans réserve à celui qui en avait compris, bien avant elle, les merveilleux attraits.


Elle rejeta son visage vers l’arrière lorsqu’il emprisonna ses seins aux creux de ses paumes, cambra son corps pour mieux exhaler son trouble et son plaisir lorsqu’à travers le tissu il en effleura les pointes de ses pouces pour les faire doucement se durcir, les rendre impatients, avides de la bouche qu’il allait bientôt poser sur leur nudité magnifique.

Oscar rouvrit les yeux, appela, supplia silencieusement les prunelles claires de la débarrasser de l’infime barrage la privant encore de cette caresse, découvrit une attente égale à la sienne.

« Déshabille-moi… » sourit-elle le souffle court, tentatrice, conquérante.

Et parce qu’ils n’étaient plus que lave en fusion tous les deux, André se saisit alors de la fragile mousseline et la déchira jusqu’à la taille, faisant jaillir sa triomphante féminité comme un papillon sortirait de sa chrysalide, libre enfin de toute entrave.


Cette fois elle ne gémit plus mais cria son plaisir lorsqu’il embrassa passionnément le tendre galbe de son sein gauche, en imprima la douceur contre sa joue, ses lèvres, sa langue enfin, pour voluptueusement en faire rouler le téton rose et dur.

Oscar s’accrocha un peu plus aux épaules, croyant défaillir sous l’invraisemblable feu qui la dévorait, qui ne partait plus du creux de son estomac mais de la base même de son être, de son sexe, la traversant de part en part comme un immense geyser de flammes.


La pauvre baignoire vacillait devant tant de fièvre et ne fut bientôt plus digne de recevoir de telles passions. Sans trop savoir comment, les deux jeunes gens réussirent à s’extraire de l’eau tiède, soudés l’un à l’autre en ne pouvant cesser un seul instant de s’embrasser, tombèrent avec bonheur un peu plus loin, elle sur lui, ruisselants, ivres.

André la débarrassa très vite des lambeaux recouvrant encore ses épaules, la dénuda jusqu’à la taille. Il voulait jouir des rondeurs pleines de sèves de ses seins contre son torse, laisser couler ses mains le long d’une chute de reins en tout point ensorcelante mais surtout, la mener à l’extase en lui faisant apprécier tous les plaisirs érotiques de leurs jeux amoureux…

Oscar le regarda, le ciel de ses yeux flamboyant de désir, vibrante sous le rythme lent de ses belles mains chaudes contre sa peau humide.

Elle ferma les yeux et sourit, comme pour elle-même, se laissa conquérir par ce rythme différent, plus subtile mais tout aussi bon que la fièvre qui venait de la secouer.

Et elle gémit, tout aussi intensément, lorsque les doigts du jeune homme glissèrent insensiblement sous le tissu ceignant sa taille, quand il caressa ses fesse, puis descendit plus bas encore pour revenir vers l’échancrure de ses cuisses, s’insinuer avec délicatesse vers cette partie si sensible de son intimité pour, tendrement, lui procurer des milliards de sensations plus indécentes et délicieuses les unes que les autres.


Ses premières larmes d’extase jaillirent en même temps qu’un cri de plaisir lui déchira le corps, ce dernier reprenant aussitôt les ondulations qui en augmentaient sa jouissance.

- Oh André…balbutia t-elle, à bout de souffle mais en voulant plus à chaque attouchement, j’ai été folle…folle de nous priver de cela durant tant d’années ! et elle reprit sa bouche, y goûta le sel de ses propres larmes tout autant que la passion qu’il éveillait en elle.

- Mon amour, si tu savais comme je t’aime…exhala t-il contre ses lèvres, comme je t’ai désirée, à en perdre la raison ! Comme hier dans cette grange, obligé de te jouer cette odieuse comédie alors que je mourrais d’envie de te faire l’amour dans un tas de foin !

Oscar se serra un peu plus, toute palpitante de plaisir et d’émotion en cachant son rire dans le cou du jeune homme.

- C’est vrai ? Même avec toutes les petites bêtes qui nous auraient gênés ? se moqua t-elle au souvenir de ses manières précieuses.

- Et comment : elles n’auraient pas fait le poids face à l’énorme bête sauvage que je suis ! et il la bascula avec dans les yeux un éclat illustrant parfaitement son propos.

Oscar sentit sa fièvre regagner du terrain et sourit d’un air de défi.

_ Prouve-le…


Elle éclata de rire quand il se jeta sur elle, ne retenant plus ses gémissements de plaisir quand lui-même laissa parler toute la fougue qu’il lui inspirait. Les restes de mousseline ne firent pas long feu sur ses hanches, à sa plus grande satisfaction.

André les déchira tout aussi impétueusement que tout à l’heure pour la mettre entièrement nue, posant aussitôt sa bouche à l’endroit, unique, qui la différencierait à jamais d’un homme.

Et pour la toute première fois de sa vie, son cri se fit reconnaissance envers le Ciel de l’avoir ainsi faite, lorsqu’elle sentit des lèvres brûlantes embrasser le pli de sa féminité encore enfermé sur ses mystères, se perdre dans sa toison puis descendre contre la peau douce de ses cuisses pour les couvrir de baisers, et tendrement, patiemment, les faire s’ouvrir et s’épanouir.


Oscar crut bien qu’elle allait mourir sous l’ineffable sensation, tout son corps tendu à se rompre dès l’instant où André fit remonter ses mains le long de ses jambes ouvertes et en caresser le galbe du bout des doigts, afin d’accéder tout doucement vers le temple humide de son sexe encore vierge de toute caresse.

Elle s’arque-bouta, creusa ses reins à l’extrême pour mieux exprimer l’intensité de son extase quand il en ouvrit les fragiles parois avec une infinie délicatesse, puis écarta les pétales de sa virginité pour venir religieusement en respirer l’enivrant et sauvage parfum.

A peine en avait-il effleuré le cœur de la pointe de sa langue, qu’elle sentit sa jouissance s’éveiller, remous inconnu et délicieux qui galvanisa littéralement ses ardeurs amoureuses. Bientôt c’est elle qui chercha la sulfureuse et incessante caresse, et son corps lui-même se cambra voluptueusement pour aller à la rencontre de cette langue si généreuse en sensations nouvelles.


Oscar plongea les mains dans la chevelure brune et s’accrocha à elle, à cet amant torride en effet qui la guidait vers ces horizons insoupçonnés ; tremblante, secouée de spasmes quand il quitta son sexe pour remonter lentement le long de son corps durci par l’attente du plaisir ultime, incapable de parler, ses yeux seuls exprimant la contrariété qu’il se soit arrêté soudain.

Mais il lui sourit, irrésistible comme à son habitude, la jeune femme comprenant intuitivement qu’il ne l’avait que préparée à recevoir un plaisir plus grand encore, même si elle ne savait clairement lequel.

Face à l’appel des grands yeux bleus il se leva, la prit fougueusement dans ses bras pour l’emporter et l’étendre sur la courtepointe vieil or du lit à baldaquin, voulut se dévêtir à son tour mais elle l’arrêta d’un geste.

Le sourire languide n’admettait aucun équivoque : comment lui refuser ce plaisir…


Impatiente, Oscar lui retira ses bottes qu’elle balança au hasard, les pauvres atterrissant dans des endroits dont tout le monde se fout à vrai dire, et qu’il est donc inutile de décrire pour ne pas perturber la lectrice tout émoustillée par ce qui va bientôt jaillir du pantalon.


Les mains légèrement tremblantes d’excitation, Oscar caressa le torse puis dévala rapidement le ventre férocement musclé de son bel amant, atteignit le premier bouton…et remarqua enfin la bosse anormalement volumineuse qui tendait le tissu noir, comme prêt à se rompre. Etonnée par ce phénomène étrange, ses doigts dévièrent quelque peu et vinrent toucher le curieux monticule, les retirant bientôt comme sous l’effet d’une vive brûlure.

André venait de grogner et elle crut lui avoir fait mal. Remontant vers son visage, les yeux clos et le sourire béat du jeune homme paraissaient pourtant témoigner du contraire. Etrange…

Elle recommença. Caresser ainsi la proéminence causait des plaisirs rares apparemment, et les joues de la jeune femme se colorèrent en réalisant qu’elle aussi pouvait donner les bien-être qu’il venait de lui procurer. Sa curiosité attisa ses impatience et elle ne fut pas longue à décacheter le pantalon pour mettre à nu ce sexe d’homme.


Un hoquet de surprise accueillit sa découverte, ses joues plus roses encore en voyant le membre viril fièrement dressé, si différent de ce matin, dont la pointe se décalottait à présent de rouge profond. Timide mais intéressée, elle effleura la verge, sidérée de découvrir une douceur de peau incomparable, la plus douce qu’elle ait jamais touché.

Elle s’enhardit et les grognements de contentement se précisèrent quand elle fit aller ses doigts sur cette splendide mécanique masculine, osant au bout de quelques secondes en toucher la partie érubescente.

Aussitôt ce fut comme si André reçut la plus vive des douleurs et elle voulut s’excuser, affolée de sa maladresse…pour à la place se retrouver dans ses bras, renversée passionnément sur la courtepointe et couverte de baisers.

Comprenant et savourant enfin les conséquences de son geste, Oscar se promit de venir visiter le plus souvent possible cette région si sensible de son anatomie…


Sous l’avalanche de voluptés insensées qu’il s’empressa de recréer sur différentes parties de son corps, elle ne détailla pas, elle baissa d’un geste sec le pantalon à demi ouvert pour prendre à pleines mains le sublime fessier et l’attirer contre elle, défaillante, avide de retrouver les plaisirs entraperçus.

Elle n’eut pas un cri lorsqu’il la pénétra, tout juste une crispation de son visage lorsqu’il déchira et franchit l’invisible frontière faisant d’elle une femme désormais.

Cette douleur physique n’était rien, ses plus grandes souffrances ayant toujours été ailleurs, impalpables.

Elle regarda André comme jamais, émerveillée de le sentir en elle mais ne bougeant pas encore.

Elle caressa son visage, avec dans les yeux un éblouissement mais une angoisse aussi, la dernière.

- André…tu ne me quitteras plus jamais, n’est-ce pas ? Tu resteras toujours…près de moi, à mes côtés…

Il sourit, son regard clair vibrant de passion.

- Comme je l’ai toujours été, Oscar, comme je le serai toujours. Je t’aime…


Alors, lentement, les traits délicats s’éclairèrent du même sourire, son corps s’alanguit pour s’offrir à la jouissance. Qu’elle sentit monter, peu à peu, au rythme souple qu’il imprima contre elle, en elle, avec douceur puis plus précis, toujours plus profond et intense à chaque mouvement de reins. Et quand le plaisir fut tel, à ce point immense qu’elle crut en mourir, quand l’orgasme explosa et les déchira tous les deux d’un cri sauvage elle s’accrocha à lui, serra fougueusement ce corps trempé de sueur comme pour en celer plus étroitement l’union spirituelle avec le sien.

 

Et lui offrit son dernier présent, ces mots que jamais elle n’avait prononcés :

- Je t’aime…murmura t-elle en reprenant vie.

 

13.

 

 

 

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